Qu’en est-il de la représentation du corps dans l'art contemporain quand celui-ci ne correspond pas aux normes académiques telles qu’elles sont définies par les canons de la beauté classique ?

Dans les années soixante, on est réticent à sortir les femmes de la case « foyer », pour les faire entrer dans la case « travail ». Il est de bon ton de leur ouvrir les possibilités d’avoir un métier, mais, dans les faits, c’est à la maison que se trouve véritablement leur « place ».

C’est écrit en gras. En gros. En blanc. Avec sa tête au-dessus : Emmanuel Macron. « Nous tous ». L’affiche s’étale encore sur les panneaux électoraux, au détour des rues, devant les écoles...

Vous voulez connaître l’histoire de la vie d’une femme au travail ? En voici un résumé, avec un personnage principal, des rôles secondaires et, comme dans les tragédies grecques, un chœur qui ajoutera, pour vous lectrice, lecteur, des informations mesurées dans les vies d’autres femmes…

Hier comme aujourd’hui, on n’a pas arrêté de dire aux femmes qu’il faut qu’elles soient belles… pour elles ? Surtout pour les autres, en fait ! Morceaux choisis des conseils beauté d’un magazine des années 60.

Le corps des femmes (ou d’une grande partie des femmes) a pour particularité de pouvoir porter et mettre au monde des enfants. C’est une réalité biologique. C’est un processus que l’on a tendance à qualifier de “naturel”. Mais est-il pour autant “normal” ?

Pour permettre à Léonard et Michel-Ange de garder leur chance sur TikTok, nous avons rectifié leurs créations les plus célèbres en leur appliquant des proportions conformes aux canons actuels.

Une histoire vraie, vécue.

Rencontre avec Nora Bouazzouni.
“Ce que nous mettons dans notre assiette et dans notre corps ne nous définit pas.”

La taxe rose n’est pas une vraie taxe officielle. Elle est juste le résultat d'une technique de marketing : en donnant à un produit un packaging et une communication adaptés au public “cible”, elle en augmente le prix. En voici quelques exemples.

Eva Illouz est une sociologue franco-israélienne. Elle dirige une chaire dont le thème s’intitule : “Repenser l’histoire du capitalisme. Comment les émotions sont devenues des marchandises”.

Les femmes en cuisine à la maison et les hommes à la chasse ou au restaurant ? À toutes les époques, les tâches ménagères pour les femmes et la gastronomie réservée aux hommes ? Et au 19ᵉ siècle, un lien entre gastronomie et galanterie.